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Pense-tue... ?

Pense-tue... ?
8 mai 2009

H-mou'ah

Homage_for_my_Shoes
(Oh ! Emgé. Une photo de mes godasses... Bon ça fait un peu ém0o0, je suis profondément désolé. Vous n'oserez bien entendu jamais faire le lien avec "Wanna Be Happy ? Look Up.", ça serait de mauvais aloi...)

Soyons fous. Deux textes !
Trompettes et tambourins, fêtons ça comme il se doit : je vais... Hum... Être aimable.

Deux sur l'auguste thème de Moi. Avec un grand M prétentieux écrasant les oies... (Mouahaha, rendez-moi service, suicidez-moi avec mes blagues.)

° -.- °
°     °

Le néant. Un joli Rien. Une boulette de pétrole dans l'endomètre de l'imagination.
Tout va bien.
Et la seconde d'après, je l'entends crier, petit être, je croise son grand regard bleu,
Mer d'angoisses qui se jète pour engloutir mon coeur, qui se serre, se contracte,
Lutte et très vite craque, et le torrent de sensations et d'émotions jaillit, veut sortir de mon être,
Je lui adresse un sourire, il se sent mieux. Je le sens.
Je vais vomir. Trop d'émotions.
Trop d'affection sans personne pour la prendre sans modération.
Je vais craquer. Je vais crier
. Mais personne ne m'entendra.
Rares sont ceux qui ont l'horrible bonheur de ressentir l'horreur comme la joie des autres.
La voix la plus entêtante n'est pas celle que l'on entend.

De la chaleur.
Une main chargée d'hormones contre ma peau, oreillette contre oreillette,
Ventricule contre ventricule.
Savoir donner le bonheur aux autres, pour en jouir éternellement.

Me plaindre pour qu'on m'aime. Me plaindre pour montrer aux autres qu'il y a pire ?
Me plaindre si facilement parce qu'il n'y en a pas lieu.
Me plaindre si facilement parce que j'aime avoir l'impression de gagner la lutte contre le chagrin, fut-il fantasmatique.
Moi
Encore Moi.
Juste Moi.
Pour toujours.Et je ne supporte plus cette sensation.
Il faut que je voie, enfin que j'essaye...
Sont-ils pareils ?
Sont-ce ces mêmes horreur que je hais ?
Si oui, comment pourrait-ce quelque horreur ?
Jamais n'est horrible pour la majorité ce qui est commun.
Moi.
Je n'en veux plus du Moi.
Je veux
Elle, je veux être pour ; dans Elle.
Voir son sourire s'illuminer.
Rallumer le soleil.

° -.- °
°     °

Et le deuxième a été écrit spontanément, un peu trop, en parlant à quelqu'un. Je ne l'aime pas trop, parce qu'il m'affecte. :

D'une amie :
" Personne ne peut pendant très longtemps
se montrer un visage à lui-même
et en présenter un autre au reste du monde
sans finir par s'y perdre
et se demander lequel des deux est vrai.
"

Je m'y identifie. Je développe :
Disons que... Disons que j'aime ma marionnette, mais que je suis derrière et pas dedans.
Depuis quelques années, je me suis rendu compte qu'il était aisé, au moins pour mon cas, de devenir ce que je souhaitais, alors je "me" construis, et ce personnage, ce "me", je l'aime, mais qui est le "vrai"
*Monprénomàmoi* ? L'aliéné qui a des idées tordues, qui s'aime, l'égoïste, le prétentieux, ou la marionnette qui lui permet d'être tout cela au fond ?
Je me masturbe intellectuellement en créant un personnage que j'aimerais être.
Mais je pense que "construire ce personnage", et "se construire" est sensiblement pareil, c'est comme une interface qui permet d'avoir des relations plaisantes avec le monde.
Et est-ce que ça a une importance ?
Les moments les plus intenses que je vis, je les vis dans
ce personnage, et pas derrière. Je suis lui.
Donc au fond, qui je suis ?
Je considère que je suis lui pour les autres, moi pour moi.

*

Double citation aujourd'hui, parce que vous avez été sage. Vous, lecteurs inexistants, épars, ou silencieux.

"Le Dictionnaire a toujours le dernier mot."
-
"Si on disait ce que l'on pense, on ne pourrait pas vivre en société."

 

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8 mai 2009

Introduction II

Avatar_en_fille
(No comment... ?)

Voici ce qu'aurait du être l'introduction à ce blog, telle que je l'avais éructé la première fois. Voici telle qu'elle aurait été si je n'avais pas la pitoyable manie d'oublier des trucs au moment de faire des choses.

"En ces jours fastes de l'heptadécagénaire (un érudit pourrait-il passer par là et m'éclairer sur la possibilité d'un tel terme ?) que je suis, tout devrait être parfait.
J'ai tout.
Mais une tristesse et une lassitude profonde m'accule chaque soir, là où ma vie a été parfaite à mon goût, elle décline, et mes ongles la griffent lorsqu'elle s'enfuit dans les recoins les plus scabreux.

Dans la fatige, dans la transe ahurie, j'écris parfois quelques mots auxquels je trouve un sens.
Je ne saurais dire pourquoi les exhiber comme une vulgaire prostituée avide de mots étrangers me semble la chose à faire avec ces fragments de verre tirés de mes boyaux (amis du boudin bonsoir), mais j'ai la sensation que je pourrais aller mieux après.

A bon entendeur, salut."

Cet intro est... Nous conviendrons qu'elle est vieille, donc partiellement obsolète, donc non rentable, donc à jeter, vous dira n'importe que Fordien.

A bon entendeur, salut.


*



"Te serre contre moi, fort
Jusqu'à en mettre ta virginité en péril.
Te serrer contre moi, fort,
Et te tuer chaque lendemain plus que la veille.

Prière de me laisser t'étouffer,
Et de ta charogne me délecter"

PS : Encore une fois, pas un poème, de la "porose" mise en forme.

 

25 avril 2009

L'art minute Bobo.

Hasta_la_Muerte
HASTA LA MUERTE (selon mon livre d'Espagnol) de GOYA

La minute Bobo. Oui, ça fait très cultivé de mettre une toile dans son blog, mais ne vous y méprenez pas, ma culture dans ce domaine est quasi-inexistante.
Je suis seulement tombé en émerveillement devant cette toile.

Pourquoi me plait-elle ?
Elle est dérangeante. Etrange. Elle donne à penser.

La mort s'approche doucement de la vieille, avec son panneau "Que Tal ?" (Comment ça va ?), pendant ce temps c'est l'ange qui fauche la vieille.
Cette vieille est d'ailleurs apprêtée comme pour un mariage. Étrange, non ?Cette toile est tellement vraie. La mort attendue sereinement, l'annonce d'un paradis certain, et finalement... Bah c'est la mort qui nous entube, c'est un doigt de Dieu, un ange, qui fauche ici, et non une figure macabre. J'y vois une négation du paradis, la tromperie de toute une vie, la fourberie de promesses illusoires... Voyez-y ce qu'il vous plaira, je suis fatigué.
D'ailleurs j'écris mal ce soir.

PS : Au passage, ce que je considère comme la mort, c'est-à-dire le personnage qui tient la plaque "Que Tal ?", certaines personnes disent que c'est une vieille... Je préfère le voir comme la mort. C'est, disons... Plus "fun".


*



Cette fois-ci en citation, une chose qui m'a... Hypnotisé ? Surpris ? Choqué ? Laissé coi :

Commentaires sur cette vidéo, hommage à une personne que je ne connais pas :

lamolpemeje :
fuck!!! this asshole was thinking in satan as a comrade what a jerk,the satan is the first betrayer jon (le type dont la vidéo est l'hommage) is burning and crying in hell for eternity

jas03000 lui répond :
Are you serious? Satanist don't believe in Satan. Satan is a symbolic reference. There isn't a Satan nor hell my friend.



Ca laisse coi. Vous ne trouvez pas ?

18 avril 2009

Agalloch.

themantle
(The Mantle, album exceptionnel d'Agalloch. Bon, ok. Mais il est pas sexy ce cerf ?)


Pourquoi commencer par Agalloch ?
Parce que.

Agalloch est un groupe de... D'Ambient Folk Progressive Metal ? Disons qu'il est impossible de définir leur musique sans aligner des tonnes d'adjectifs qui, tous ensemble, donneront un truc relativement ridicule.

Disons que c'est juste magique.
La guitare acoustique nous emmène loin au nord, au coin du feu, légèrement nostalgique, mais on se sent bien. La guitare électrique vient aligner quelques blanches, quelques rondes, nous arrache un sourire. Le bonheur.
L'ambiance. Toutes ces choses indescriptibles suggérées par leur musique, toute cette magie... Une musique qui parait si simple, et qui est si riche.
Un bonheur. Un tempo lent, qui abaisse notre tension, nous arrache quelques breaths de bonheur.
Encore, bonheur.

Cette musique nous rappellera juste que nous sommes en vie. Et que rien que ça, c'est beau. Que de pouvoir s'allonger avec du Agalloch dans les oreilles et partir pour un autre monde, c'est beau. Un monde lointain. Un monde fantasmatique. Mais si réel qu'il est presque palpable. Et on voit le monde comme s'il était aussi beau.

Je me tais, ça ne se décrit pas, ça s'écoute, ça se vit.

J'ai mis ici les paroles d'une chanson qui n'est peut-être pas la plus représentative, entièrement acoustique me semble-t-il. Pas forcément la plus belle musicalement, mais les paroles sont magnifiques. Enfin, elles me touchent profondément, en tout cas.
Ceci est Desolation Song, de l'album The Mantle.

Enjoy.


Here I sit at the fire.
Liquor's bitter flames
warm my languid soul.
Here I drink alone
and remember, a graven life,
The stain of her memory.
In this cup, love's poison,
For love is the poison of life.
Tip the cup, feed the fire,
And forget about useless fucking hope...

Lost in the desolation of love,
The passions we reap and sow.
Lost in the desolation of life,
This path that we walk.

Here's to love, the sickness,
The great martyr of the soul.
Here's to life, the vice,
The great herald of misery.
In this cup, spiritus frumenti,
For this is the nectar of the spirit.
Quench the thirst, drown the sorrow,
And forget about cold yesterdays.

Lost in the desolation of love,
The passions we reap and sow.
Lost in the desolation of life,
This path that we walk.

Lost in the desolation of love,
The sorrows we reap and sow.
Lost in the desolation of life,
The path that we walk.

18 avril 2009

Shit. You said shit ?

delarue
(Je parlerai ici de merde... Ce mec est hallucinant. Une idole dans ce domaine. L'image est naze. Faudrait que je la change, one day.)


Substances abjectes qui lèchent mes doigts, vous que je hais. Je fuis, vous évite, puis de dépit vous laisse embrasser ma peau. Je plonge ma main dans cette merde, dégueulis de restes infâmes d'un festin trop copieux.

         Une sorte de gerbis civilisé.

Je mets en œuvre des procédés, des outils, ou frappe votre support pour vous jeter sur vos sœurs.

         Abjectes vous êtes, pires vous serez.

Tout un temps dédié à vous apprêter, vous faire belles, vous rendre appétissantes, parfois des heures, pour en laisser toujours un peu, au fond... On prend ce qu'on veut, on méprise le reste. N'a-t-on pas raison, au fond ? N'est-ce pas plus humain qu'un salut forcé ?

         Et on met les doigts dans sa merde.

Pour l'éliminer. Effacer les tâches. On se lave les mains. Et le fruit de nos efforts, cette bouillie abjecte, ces réservoirs à miasmes qui nous dégoûtent tant, en fumée, à jamais...

         Caprices d'enfants...

Finis ton assiette. Débarrasse. Jette. Jette...
Oublie. Oublie que tu as gaspillé.
Oublie. Oublie que tu te sens coupable d'être celui qui jette ce qui est bon.
Oublie.


*



Me dites pas que ça vous a jamais troublé de balancer la nourriture si bonne...
Je suis un ventre ?
Non.
Non, non.
NON.

Mais c'est troublant de débarrasser parfois.
Non ?

PS : écrit avec le statut "Parti(e) Manger" d'MSN, tout en mangeant des Smarties (®) ...


*

"Pourquoi les gens laids n'ont-ils pas le droit d'être beaux ?"

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17 avril 2009

Les beaux jours reviennent...

cadre_old_paint
(C'est pas hyper fini, I'm sorry, mais j'ai pas grand chose comme image, hein... )


... Donc il est temps d'écrire des textes employant des métaphores aussi macabres que douteuses. Il en sera de même pour sa mise en page, de la prose organisé comme des vers... Une insulte, mais j'en suis par avance désolé. Sans cela ça donnerait encore moins envie de lire.

Sachez aussi, que ça n'a pas vocation à vouloir dire grand chose, et qu'il n'y a aucune unité entre la première et la seconde partie. Écrit l'autre jour, avant de me laver les dents, après avoir composé de la merde, et avant de faire ma philo aussi. Épatant, je sais.

Il y en a qui me plaisent, d'autres moins,
Je suis au magasin.
Le temps donne les moyens,
Moyennant souffrance,
Attente, atteinte à la raison, destruction, création,
[manipulation, masque, pantin, arroseur arrosé, défaillance.

(La, ça ne veut plus rien dire, désolé)

Sur la tombe...

Du voyageur perdu dans l'introspection.
Du fier aliéné raisonectomisé, destitution
De son intégrité, la tâche qui lui incombe.

*

(Là, c'est plus sensé, mais ça a rien à voir)
Le théâtre incinéré
De nos amours dépravés,
Trois cicatrices, et si jeune.
Choisira les suivantes avec soin,
Il ne veut plus d'éraflures,
Il veut que le couteau s'enfonce, brise chaque fibre de ses muscles,
Lacère ses cartilage, doucement.
Il veut que le couteau ansi réchauffé se plante profondément dans son coeur,
Sans pouvoir jamais quitter la douce caresse des ventricules embrassant les oreillettes.
Cracher son sang chaque jour,
Ne jamais fermer la plaie,
La garder à vif.
Sentir le sang couler,
Perler sur chaque centimètre carré de sa peau asséchée.
Aimer.



Bien. Je crois bien que la fatigue fait des choses étranges. Mais j'aime bien ce texte. Il est "too much", trop cradouillet pour ne pas faire sourire.

Je m'en vais vaquer activement.
Que votre journée ne soit pas une pluie de tripes et de sang.

"Wanna be happy ? Look up."

(Ça, c'est mieux.
Ça, c'est sensé. Ça, j'applique.
Ça, fait chier je m'arrête la.)

9 mars 2009

Il FAUT poster... Il FAUT.

Deep_Blue_Eyed
(L'image, c'est pasque ça fait bien de faire une image... Alors j'en ai mis une... Une création... Un peu vieille... A partir d'une photo du net. L'oeil. Hum, voilà. Cool. Hem.)

Courage, courage...

Je vais y arriver.
Ceci dit, après avoir changé l'en-tête en quelque chose qui ne pique pas les yeux (cf. Police arial en gras sur fond noir), je me sens plus proche de l'aptitude à poster.

Je me permets de gerber à vos pieds, enfin plutôt sur votre clavier, vu les supposées position relatives de cet article et de votre clavier, quelques... "brèves" ? Pensées diverses et variées, gerbis de l'esprit, écrits le soir quand je suis fatigué.

Commençons dans la légèreté "Ce ne sont pas les dieux qui font les miracles, ce sont les miracles qui font les dieux."
(Si vous jugez que votre mère est un miracle, je vous invite cordialement à ne pas en tirer de conclusions hâtives.)
Il parait que celle-ci existait avant de renaître dans ma tête. Dommage. Je vous en vomis d'autres, désolé pour le bordel, et félicitations à ceux qui arrivent au bout.

  • "A ceux qui croient savoir : qu'ils cherchent."
  • "C'est le malheur des autres qui nous fait réaliser notre bonheur" (Elle marche dans les deux sens, mais le fait que celui-là soit caricaturallement déprimant et pessimiste le rend fun, à mon goût.)
  • "Inévitablement, tu seras au passé comme tu es au présent".
  • "J'attrape les feuilles de papier et les habille d'encre au rythme où un enrhumé attrappe et remplit ses mouchoirs."
  • "La vie est une longue phrase à laquelle on aimerait apposer des points-virgules, alors qu'on peine à glisser des virgules, et qu'on doit lutter pour repousser le point."
  • "S'il est bien vain de vivre dans le passé ou le futur, c'est parcequ'à l'instant où vous vivez, seul le présent existe." (Haaaahahahaha... Trop facile, bien entendu.)
  • "Ouvre-moi tes yeux..." (Je ne saurais dire pourquoi j'aime beaucoup cette phrase.)
  • "Noel, c'est le jour pour se faire pardonner tous les autres."
  • "Parfois, on trouve plus de chose dans une boîte vide que dans le cerveau d'un homme amoureux." (Au risque de dire des conneries, il me semble qu'il a été prouvé scientifiquement que certaines hormones sécrétées par le cerveau lorsqu'on est amoureux réduisent les capacités de réflexion : voilà pourquoi être amoureux, c'est aussi être un peu plus con chaque jour. C'était la minute TS [= Terminale Scientifique, pour éviter tout malentendu].)
  • "Portrait du mortuaire, ombres élaguées, et tout ce qui s'en suit..." (Haaaaha... Vous avez dit "caricature" ?)
  • "Etre gothique, c'est pas automatique." (Parlez-en à votre métalleux traîtant.)
  • "Quelques accords ça se partage, un solo, ça s'exhibe."
  • "La philosophie, c'est les pensées qu'on a sous la douche, mais à l'écrit." (AOC cours de philo, produit et mis en pot salle B 301)
  • "La meilleure défense est la fuite : la feuille du chêne centenaire s'envole lorsque la mort veut l'embrasser." (Et dire que j'ai sorti ça à un ami à propos d'une fille virile qui le traquait tel un gnou en forêt, si ces mystérieux gnous vivent bien en forêt.)

Vous vous faites chier, hein ?

J'en ai plein d'autres. Mais j'ai la flemme for now. So... I'll be back. Et with des petits textes un peu plus longs, plus des mini-réflexions.



Ps : Je n'adhère pas à TOUT ce que j'écris comme phrase. Je ne sais plus ce que j'ai écrit ce soir, mais il y a des phrases sucidaires aussi. Et je n'y adhère pas.
Hein ?
Bon.
Eh bien.
Voilà.
Il est temps
Ah.
Et puis aussi, "Bigeuppe" à la personne qui voulait que j' "AJOUTE DES ARTICLES, MERDE !".
 
 

En espérant que ce tissu d'inepties soit un jour brodé en une belle robe de logique.

28 février 2009

Il faut un début.

DSCN4371

Il parait...

Comment m'introduire sans tromper votre bel esprit...
J'ai trop de chose à dire, pas assez de temps, je les oublie, les note, les retrouve, les partage, les garde secrètes ou les exhibes... Je vais méthodiquement m'appliquer à les cracher ici.

J'aime les jolis mots, et quand certains me sautent à l'esprit, je les note et ils moisissent... Sans savoir s'ils étaient voués à la poubelles adjacente au bureau, ou si ils pouvaient au moins dessiner quelques sourires.

Je parlerai aussi de musique. Je passe mes journée dans la musique, alors je ne peux pas ne pas en pas en parler. Forcément, on va dire "Mais ouvre ton univers musical !", je vais où je me plais... Bien souvent au sein du Métal, il faut bien le dire.



PS : Je n'ai pas pour habitude de me taillader les veines afin de remplir ma baignoire, je n'ai pas vocation à rendre le monde meilleur, je ne gueulerai pas sur les gens qui posteront des commentaires négatifs, je ne sortirai pas le chien, je m'efforcerai de ne pas trop employer le mot "moi", je m'efforcerai de ne pas passer pour le sucidaire que je ne suis pas, je m'fforcerai de passer outre mon aversion des blogs, je ne me laverai pas de la semaine, je m'efforcerai aussi de m'assurer que vous avez bien lu les articles jusq'au bout, bande de feignants...

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